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Par Froeschl le 28 Mai 2013 à 09:07
Conférences pédagogiques des Harmonies d'Orphée
au Centre Culturel de Bandol, 17h00
par Maximilian Fröschl
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Giacomo Meyerbeer (1791-1864) : Sa vie et son oeuvre
A l'occasion du 150ème anniversaire de sa mort, le 2 mai 1864.
Jeudi, 25 septembre 2014 à 17h00, Salle Marcel Pagnol, Centre culturel à Bandol
Cette conférence, très acclamée par les auditeurs, sera la dernière à Bandol. Après les elections en mars 2014,
"Les Harmonies d'Orphée" ne seront plus représentées culturellement. C'est la plitique !
Maquet pour l'opera "Les Huguenots" de Meyerbeer
Giacomo Meyerbeer est né à Berlin le 5 septembre 1791 et mort à Paris le 2 mai 1864, de son vrai nom Jakob Liebmann Beer, est un compositeur allemand qui a vécu une grande partie de sa vie en France. Il était fils d'un riche banquier juif. Ses frères sont l'astronome Guillaume Beer, et le poète Michel Beer. Giacomo Meyerbeer étudie avec Lauska et Clementi, puis avec Zelter et Anselm Weber pour la composition, enfin avec l'abbé Vogler, qui achève de le former. Il eut pour compagnon d'étude Carl Maria von Weber. Ses premiers opéras sont un échec, à Berlin comme à Vienne. En 1816, sur les conseils de Salieri, et dans l'espoir d'une carrière un jour couronnée à Paris, il se rend en Italie, où il a la révélation de la musique de Rossini. Il écrit alors six opéras italiens, dont le dernier, Il Crociato in Egitto, 1824, représenté à Londres puis à Paris, lui assure la célébrité dans toute l'Europe. Il s'installe alors à Paris en 1825, puis en 1827 Meyerbeer commence une fructueuse collaboration avec Scribe. Leur première œuvre commune, Robert le Diable, est créée à Paris en 1831 avec un immense succès, et pose les bases de ce qui deviendra le Grand Opéra, nouveau genre où nombre de compositeurs se sentent désormais obligés de faire leurs preuves. Avec les six autres œuvres écrites pour la capitale française (dont L'Africaine, créée après la mort de son auteur, en 1865), Meyerbeer a donc fixé pour longtemps les canons du « grand opéra » et s'est assuré tout au long de sa carrière le prééminence dans ce genre : le jeune Wagner l'imitera servilement avant de s'en affranchir ; Verdi lui-même devra se soumettre aux règles dramatiques qu'il avait fixées, lorsqu'il écrira pour Paris. La carrière française du compositeur, seulement interrompue par un séjour à Berlin, d'ailleurs malheureux, de 1842 à 1848, fait montre d'une remarquable longévité.
Bien que célèbre dans toute l'Europe dès les années 1830, sa renommée, après sa mort, fut très rapidement éclipsée, en particulier par Wagner, et ses œuvres ont peu à peu disparu du répertoire. Le disque et quelques trop rares reprises ont cependant évité à ses œuvres de tomber dans un oubli complètement injustifié, et permis au public moderne de mieux prendre la mesure de son importance dans l'évolution des procédés dramatiques et dans l'histoire de l'opéra. En effet, dans son oeuvre, essentiellement cependant la partie française de sa production, apparaît une conception soigneusement élaborée d'un type d'opéra particulièrement grandiose dans lequel tous les rapports d'équilibre sont savamment pesés. Son succès ne fut donc pas le fruit du hasard, mais la conséquence d'un réel génie qu'il est grand temps que nous redécouvrions. Il a composé seize opéras, dont Robert le diable et L'Africaine.
Il utilise souvent le principe du leitmotiv, qui a été perfectionné par Wagner. Parmi les traits dominants du grand opera conçu par Meyerbeer, le plus remarquable est sans doute la place faite aux interprètes. Dans toute son oeuvre, le choix de ces derniers est capital et même déterminant pour l' élaboration du livret. Le compositeur consacrait la plupart de ses voyages à l'audition de nouveaux chanteurs, et si l'un de ceux qu'il avait engagés rompait son contrat, il n'hésitait pas à remanier le rôle concerné pour l'adapter au nouvel interprète, voire à interrompre son travail sur un opéra si aucun acteur ne lui paraissait convenir. Sa musique est reconnue dans la franc-maçonnerie. [1] Par alleurs, Meyerbeer affectionnait paticulièrement la ville thermale de Spa et y séjourna à de nombreuses reprises. Il y fit souvent référence dans son journal. La ville de Spa lui ériga un monument. Ses contributions sont considérées comme fondatrices du Grand Opéra***
Jeudi, 15 mai 2014 à 17h00
Salle Marcel Pagnol à Bandol
Sémiramis, reine d’Assyrie (85o-785 av. J.C.)
Reconstitution de la véritable vie de la reine SEMIRAMIS à travers des textes cunéiformes
Traductions et interprétations des textes cunéiformes par le conférencier, Maximilian Fröschl
Nous sommes en Assyrie à la fin du 9ème siècle avant notre ère, 2 siècles avant la fondation de Marseille. Ce que l’Europe connaissait de l’Assyrie avant sa découverte archéologique c’était le témoignage déformé de la Bible et des légendes recueillies par les Grecs. Parmi ces dernières la plus célèbre concerne Sémiramis, cette reine qui semble avoir cristallisé dans sa personnalité tout le génie de l’Assyrie. Quelques années après la mort de Sémiramis (vers 785 av. J.C.<=avant notre ère>),qui était sans doute la femme la plus remarquable de tout l’Orient antique, les gardiens de l’ancienne tradition sacrée en Assyrie - soit les prêtres-conservateurs, qui voulaient conserver absolument le culte de leur dieu national Assur, soit tous les représentants haut placés du gouvernement assyrien - organisèrent une contre-révolution qui avait pour but de détruire la mémoire de cette femme dans une société, au fond purement masculine et misogyne.
La légende s’emparait de Sémiramis en déformant la réalité et en créant une femme imaginaire, née d’une déesse et d’un humain, abandonnée à sa naissance et nourrie par des colombes avant d’être recueilli par des bergers. Elle épousa le ministre du roi, Onnès et se distingua par un exploit militaire qui attira sur elle l’attention du roi Minus qui s’en éprit à son tour et l’épousa après qu’Onnès se fut pendu. Lorsque le roi mourut Sémiramis lui succéda. On lui attribue aussi une série de conquêtes et la fondation de villes de long du Tigre. Elle aurait aussi relevé Babylone et y aurait fait aménager les jardins suspendus. Enfin, lasse du pouvoir, ayant appris que son fils Ninyas conspirait contre elle, elle lui rendit le trône. Elle serait montée vers le ciel sous la forme d’une colombe. Cette légende n’a rien à voir avec Sémiramis, appelée dans les textes cunéiformes „la grande dame du palais“. Remarquons encore brièvement que les jardins suspendus sont l’œuvre du roi babylonien Nabuchodonosor II. (6o5-562) à l’occasion de son mariage avec la princesse Amytis, fille d’Astyages, roi des Mèdes. L’écrivainFlavien Josèphe écrit dans ses « Antiquités judéennes », X/XI,1, que « dans ce palais il (= le roi) fit élever de hautes terrasses de pierres, leur donna l’aspect de véritables montagnes, puis les cultiva en y plantant des arbres de toute espèce et installa ce qu’on appelle le parc suspendu, parce que sa femme, élevée dans le pays mède, voulait retrouver les sites montagneux de sa patrie »(= Aussi : Berose: Babyloniaka (Histoires chaldéennes).
Europe, le Moyen Orient etSémiramis et entre le 9ème et le 7ème siècle av.J.C.
L’époque de Sémiramis fut au dehors de l’Assyrie une période transitoire. À partir de 12oo av.n.è. nous constatons un bouleversement radical dans le Proche Orient, mettant fin à la civilisation de l’âge de bronze, provoqué par une invasion barbare sur la Méditerranée orientale par des populations mal définies et non-semitique, les „Peuples de la mer“,
En Juda, le roi Usija (781-728), réorganisa le militaire, prit le contrôle total de la route commerciale jusqu’en Egypte en fondant la forteresse de Khirbet-Qumrâ, le site postérieure des Esséniens, et regagna l’influence sur le pays d’Israël après la mort du roi Jonathan II.(789-748). Usija mourut de la lèpre (2 Rois 15.5).
En Israël régna la dynastie d’Omri dont son successeur Ahab organisa en 849 avec Bar-Hadad de Damas et Irchuline de Hamat une coalition de 12 rois contre l’Assyrie. En 841, pendant le 18ème année de Salmanassar III. (858-824), après l’assassina de Bar-Hadad, l’usurpateur Haza’el s’empara de la couronne du royaume de Damas, les Assyrien intervinrent, ils gagnèrent la bataille et à la fois l’accès à la mer Méditerranée, désiré depuis longtemps.
Les petits royaumes hittites qui se sont constitués en Alep et en Karkemish après la destruction de la capitale Hattusa en 1196/94, furent aussi détruits en 717 av.n.è. par le roi assyrien Sargon II.
Lorsque le roi Pisiris, roi de la ville de Karkemish, contacta le roi des „Muški“ phrygiens, Midas II. de Gordon (738-696) à fin de créér une coalition contre les Assyriens, Sargon II. (722-7o5) organisa plusieures campagnes et transforma quelques petits royaumes araméens successivement en provinces assyriennes.
En 714 Sargon II. détruisa l’empire Urartu, l’ennemi depuis des siècle, Karkemish en 717, Quë (= Cilicie)en 715, Tabal en 713, Kammanu en 712 et Gurgum en 711. En 7o9, le roi Midas II. devint en fin l’allié des Assyriens.
Les Phéniciens, qui pouvaient garder une indépendance relative entre 115o et 853, comprenant les villes de Tyr, Sidon, Byblos, Aradus et Berytos, fondèrent en 814 une nouvelle capitale, Carthage (=Kar-Chadascht). La ville de Byblos resta le centre la plus important à répandre l’alphabet. Vers 55o le roi Ešmunazar II. fonda à Sidon „vers la source de Ydlal“ le sanctuaire d’Ešmun. Vers 4oo
on constate la construction d’un temple, l’Erechteion en marbre (une pierre qui n’existe pas en Phenicie) d’après l’Acropolis à Athène („une peau greque avec l’intérieur orientale“). Les dieux et déesses connues sont: Melqart à Tyros; Baalat à Byblos; Ešmun et Astarte à Sidon.
En Egypte nous voyons une situation désastreuse. Loins sont les année glorieuses d’un Aménophis IV. (1372-1354) ou d’un Ramses II.(1298-1235). Un certain Pétubastis I. (82o-79o) des Tanis s’empara du trône du pharaon et fonda la XXIII. dynastie. Il ne fut pas reconnu par le clergé du Memphis. Son époque fut caractérisée par des guerres civiles, par l’anarchie et par une dégradation culturelle dans l’émpire. Son fils et successeur fut Takelot III. (798-757), l’ancien grand-prêtre de Thèbes.
Vers 85o on trouve les Cèltes dans le triangle Champagne, France, Allemagne (avec une petite partie de Tchèquie), qui peuplèrent aussi l’Espagne à partir de 8oo av.n.è.
En Grèce ancienne l’invasion des Doriens peut d’être datée entre 95o et 8oo, dont la réunion de 5 pays des Lacédémoniens forma la société de Sparte, le grand rivale d’Athène, qui prit aussi possession de l’île de Crète en créant une société d’après le modèle de Sparte. Pendant le VIIIème et VIIème siècle, les Ioniens colonisèrent le long de la côte méditerranée de l’Espagne jusque Italie, et la Doriens colonisèrent le long de la côte asiatique jusque à la mer Noire.En 776, dix ans après la mort de Sémiramis, la Grèce antique fonda en Olympie les premiersjeux olympiques, jeux panhelléniques en l’honneur de Zeus Olympien.
Vers 75o, un certain Homère composa l’Iliade et en 7oo un aute poète, le Deutéro-Homère, l’Odyssée.
Notre région, le Midi, et la côte méditerranéenne, déjà fréquentée vers 8oo par les Phéniciens (qui plantèrent par exemple la premiere palmeraie à Elche (Elx) en Espagne), fut bientôt contrôlé par les Grecs qui fondèrent vers 6oo un centre commerciale, la ville de Marseille.
En Italie la ville de Rome fut fondé vers 575 par les Etrusques, une population non-indogermanique. Ils apparurent en Toscane entre 9oo et 8oo. Ils sont venus peut-être de l’Orient? et fondèrent de riches cités, gouvernées par des rois (lucuons < LUGAL) et après par des magistrats annuels (= éponymes).
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Georges Bizet (1838-1875) : un compositeur méconnu
Sa vie et son oeuvre
175. anniversaire de sa naissance le 25 octobre
26.9.2013, 17h00 : Salle Marcel Pagnol, Centre culturel à Bandol
Georges Bizet est né à Paris le 25 octobre 1838. Son père, coiffeur, enseigne également le chant, et sa mère est pianiste amateur. Cet entourage musicien permet à Georges d’entrer à neuf ans au Conservatoire de Paris, où il suit les cours d’Antoine François Marmontel. Il reçoit vite les prix de solfège, de piano, de fugue, etc. En tant que pianiste, il est admiré par Franz Lisztdès ses douze ans, car il déchiffre exceptionnellement bien.
En 1856, Bizet compose et fait exécuter son opérette Le Docteur miracle, pièce qui lui vaut le premier prix d’un concours organisé par Jacques Offenbach. Il compose également vers 17 ans sa Symphonie en Ut, qui ne sera retrouvée qu’en 1935. Puis, à dix-huit ans, après une première participation, il remporte le prestigieux prix de Rome (1857). En 1869, Bizet épouse Geneviève Halévy, fille de compositeur, qui est atteinte d’une certaine forme de folie, comme sa mère. Bizet se montre dévoué et aimant à leur égard. De 1873 à 1875, Bizet se concentre sur la création de Carmen, son plus célèbre opéra (sur un livret de Prosper Mérimée). Mais la pièce, créée le 3 mars 1875 à l’Opéra-Comique de Paris, est plutôt mal accueillie et jugée, entre autres, indécente.
Malade et très affaibli, Bizet meurt à Bougival, le 3 juin 1875, un peu après la trentième représentation de Carmen. De nos jours, il est considéré comme un des deux plus grands musiciens français de la fin du XIXème siècle et du début du 20ème, avec Camille Saint-Saëns, malgré le manque de reconnaissance flagrant de son vivant.
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Richard Wagner (1813-1883 : Sa vie et son oeuvre
Les opéras
Les Fées (1833)
La défense d’aimer (1836)
Rienzi (1842), Le Vaisseau fantôme (1843)
Tannhäuser 1845), Lohengrin (1850),
Tristan et Isolde (1865)
Les Maîtres chanteurs de Nuremberg (1868),
L’anneau du Nibelung :
a) L’Or du Rhin (1869), b) La Walkyrie (1870), c) Siegfried (1876), Le Crépuscule des dieux (1876)
Parsifal (1882).
Richard Wagner (22 mai 1813 - 13 février 1883), compositeur et chef d’orchestre allemand, mènait une jeunesse assez mouvementée en participant à plusieurs mouvements contestataires. En plus de son talent de compositeur, il se pose comme |’un des meilleurs chefs d’orchestre de son temps. Ainsi, il écrit son premier opéra, Les Fées, en 1833, et il occupera le poste du 1. Chef d’orchestre à la cour de Saxe. Sa carrière profita énormément du soutien que lui apporta son beau-père Franz Liszt (1811-1886) et son mécène Louis II de Bavière (1845-1886).
Pendant les premières années qu'il passa à Zurich, Wagner produisit un ensemble de remarquables d'essais « L'œuvre d'art de l'avenir », « Opéra et drame ») ainsi qu'un ouvrage ridicule, « Le judaïsme dans la musique ».
Avec « L'œuvre d'Art de l'avenir » (1849), il présente une nouvelle conception de l'opéra, » l’Ouvre d'art totale », dans laquelle la musique, le chant, la danse, la poésie, le théâtre et les arts plastiques sont mêlés de façon indissociable. Au cours des années qui suivirent, Wagner tomba sur deux sources d'inspiration indépendantes qui allaient le mener à son opéra révéré entre tous, « Tristan et Isolde ». La première fut la découverte de la philosophie d'Arthur Schopenhauer (1788-1860). Selon Schopenhauer, la musique joue un rôle central parmi les arts car elle est le seul d'entre eux qui n'ait pas trait au monde matériel. Cette opinion trouva un écho en Wagner qui l'adopta très vite, malgré l'incompatibilité apparente avec ses propres idées selon lesquelles c'est la musique qui est au service du drame. Quoi qu'il en soit, de nombreux aspects de la doctrine de Schopenhauer transparaîtront dans ses livrets ultérieurs : Hans Sachs p.ex., le poète cordonnier des « Maîtres chanteurs », est une création typiquement schopenhauerienne.
Conférences 1999 - 2012
par Maximilian Fröschl
A. Musique
1. Herbert von Karajan(1908-1989): Sa vie et son œuvre, Hyères & Carqueiranne 1999
2. Giuseppe Verdi(1813-1901) : Sa vie et son œuvre - Toulon & Carqueiranne 2001
3. Claude Debussy (1862-1918) et son opéra Pelléas et Mélisande (1902)
4. L’unité thématiqueet spirituelle dans les trois dernières symphonies de Wolfgang Amadé Mozart (1756-1791) [ K.543, K.550 et K.551]
5. L’univers intellectuelet religieux d’Anton Bruckner (1824-1896) à l’exemple des symphonies nº. 5, 8 et 9 – Allemagne, 2001
6. La métaphysique de la 6ème Symphonie de Gustav Mahler (1860-1911) - Allemagne , 2000 Réflexions sur une nouvelle terminologie concernant l’analyse musicale ; Allemagne , 2002
9. Le symbolisme de la « Tétralogie » de Richard Wagner (1813-1883)
10 Vienne, musique et l’art déco. L’esprit des années 1870 à 1930 - Carqueiranne 2001 / Toulon 2006
11. Le langage codé. La substance oubliée de la musique classique et romantique ; 10.5.2010 à Bandol
12. La Symphonie en Mi b majeur, op.97 « La Rhénane » de Robert Schumann (1810-1856) et la théorie
harmonicale du Moyen Âge, 2002
13. Franz Schubert (1797-1828), le messager du destin humain et de la mort , 2003
14. Richard Wagner (1813-1883) : L’idée du « Gesamtkunstwerk » – Carqueiranne, 2003
15. W.A. Mozart(27.I.1756 – 5. XII.1791) : Sa vie et le symbolisme dans ses œuvres, Club Rotari « Toulon Liberté », 3 octobre 2005
16. W.A. Mozart(27.I.1756 – 5. XII.1791) : Sa vie et ses œuvres, Bandol, Centre Culturel, 24 mars 2006
17. Joseph Haydn(1732-1809) : Sa vie et son œuvre , Bandol, 15 octobre 2006
18. A propos de Mozart : Mozart et la franc-maçonnerie. 14 juin 2009 ; Brunch/Débat , Station Alexandre, 29/31 Bd. Charles Moretti, 13014, Marseille
19. L’Epopée de Gilgameš et la cantate « Gilgames » de Bohuslav Martinu (1890-1959)
20. Frédérick Chopin (1810-1849) : Sa vie et son œuvre. Bandol, Centre Culturel, 2010
21. Le Langage codé : La substance oubliée dans la musique classique ; Bandol, Centre Culturel
22. W.A. Mozart(27.I.1756 – 5. XII.1791) : Sa vie et le symbolisme dans ses œuvres ; Mars 2011
23. Dietrich Buxtehude (1637-1707) : Le précurseur de Bach ; 31. 5. 2012 à Bandol
24. Giuseppe Verdi et son opéra « Otello » ; 26.1. 2012 à Bandol
25. Frédéric Chopin (1810-1849) : Sa vie et son œuvre ; 4.3. 2010 à Bandol
26. Mozart et la franc-maçonnerie ; 14.6.2009 à la Station Alexandre / Marseille
27. Franz Liszt (1811-1886) : Sa vie et son œuvre ; à Bandol
28. Dietrich Buxtehude (1637-1707), le précurseur de Bach. 31.5.2012 à Bandol
29. Piotr Illich Tchaikovsky : L’Ouverture 1812 et la Campagne de Russie ; Bandol, 27 septembre 2012
30. W.A. Mozart et le symbolisme dans sa musique. 2013, La Garde
31. Modest Moussorgski (1839-1881) : Sa vie, son œuvre & « Les Tableaux d’une exposition ».
14.2.2013, Bandol
32. Richard Wagner (1813-1883) : Sa vie et son œuvre. Bicentenaire de sa naissance. 20.6.2013, Bandol
33. Georges Bizet (1838-1875) : Le compositeur inconnu. Sa vie et ses œuvres. 26.9.2013, Bandol
B. Conférences sur la Mésopotamie, animé par Maximilian Fröschl:
1. La Médecine mésopotamienne à travers les textes cunéiformes - Carqueiranne 1998
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Sémiramis : la grande reine assyrienne - Hyères & Carqueiranne, 1999 & à La Moutonne, février 2002
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L’Epopée de Gilgamesh : dramaturgie et symbolisme. - Carqueiranne & Hyères 2000
-
Astronomieen Mésopotamie, le trois mages et la date de la naissance du Christ - Journée Nationale
d’Astronomie / Méounes / Var, 2001
4. Babylone : la ville sainte sous le roi Nabuchodonosor II. (604-562 av. n. ère)
5. La correspondance féminine en Mésopotamie au 3ème et 2ème siècle av.n.ère - La Garde, 2003
7. Le roi Assourbanipal d’Assyrie (669-629 avant notre ère) : roi, guerrier, historien et homme de lettres
8. Le sort du roi substitut en Mésopotamie et l’histoire de « La vigne de Naboth » : une
interprétation du symbolisme du chapitre 21 du 1e Livre des Rois de l’Ancien Testament
9. Les secrets de l’écriture cunéiforme ; 2.6.2012, Hyères
C. Autres sujets :
1. Sinan (1489-1588) : La vie et l’œuvre du plus grand architecte ottoman - Carqueiranne, 2002
2. François Pétrarque (1304-1474) et la chartreuse de Montrieux / Var.
A l’occasion du 700ème anniversaire de la naissance du fondateur de la Renaissance
7 mai 2004 à Carqueiranne, Association du Mont Paradis
7 octobre 2004 à l’Auditorium de La Garde
3. Manès (216-273), le manichéisme et les manuscrits de Tourfan et de Nag Hammadi
4. Deutéro-Homère, les errances d’Ulysse et le monde grec du IIe millénaire avant notre ère - Carqueiranne, 2000 & La Moutonne, avril 2002
5. Mystèreset secrets des Sept Merveilles du Monde - Carqueiranne & La Moutonne 2001
6. Les Manuscritsde la mer Morte - Hyères & Carqueiranne 1999 / La Moutonne 2002
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